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Animal Collective – Octobre / Novembre / Décembre 2011 – travail d'illustration de chanson

Pour ce travail d'illustration, nous avions pour consigne de choisir 5 chansons, par forcément d'un même artiste. Je suis d'abords partie sur des chansons de Boris Vian que je trouvais très imagées. Puis finalement face à mon incapacité à sortir quoi que ce soit qui me satisfasse j'ai changé et me suis penché sur les chanson d'un groupe américain Animal Collective. Groupe de rock expérimentale et psychédélique. Les chansons que j'ai choisies évoquaient toute à un moment donnée une relation aux corps humains ( Les yeux, la gorge, les intestins, les mains et les jambes). J'ai dessiné à l'encre de couleurs ces parties du corps. Un dessin pour chaque chanson. Les couleurs de l'encre étant très saturées et dénotaient les unes avec les autres se rapprochaient du genre musicale où les notes ne sont pas tout le temps bien assemblées les unes avec les autres, mais créaient au final en ensemble indissociable.
Ce travail a été pour moi l'occasion de me familiariser avec l'encre et de l'expérimenter. Pour mes dessins finaux je ne travaillais qu'avec les trois couleurs primaires et fonctionnait avec le principe de l'impression cmjn, une couche jaune pour les zones que je voulait claires, une couche de rouge, et enfin une couche de bleu.


La grille (inachevée)- octobre/novembre 2011- Travail de graphisme.

Le sujet était assez large : la grille. Le but étant d'explorer la grille. Je suis partie dans un premier temps sur les grilles qui structurent les villes, j'ai commencé à établir des comparatifs entre différentes grandes capitales, New York plutôt rectiligne, s'organisant en blocs carrés ou rectangulaire ; Paris en cercle concentrique avec les quartiers les plus anciens aux centres …

Je me suis ensuite intéressé à l'origine de ces grilles sur lesquelles se construisent les villes. Il en est ressorti que les villes à l'origine se bâtissaient autour des places qui contenaient les édifices politiques et religieux. Autant dire que les villes se construisaient autour d'espaces vides.
J'ai voulu appliquer se principe à la mise en page et organiser cette dernière autour des vides.

Puis poursuivant mes recherches je suis tombée sur des plans de villes utopiques ( Auroville, la cité contemporaine du Corbusier...) Je me suis tout particulièrement penché sur les plan du Corbusier qui organisait l'espace par strates : sous sol => ligne de circulations, metro, tramway, train,
niveau 0 => niveau piéton, habitation, niveau+1 => gare et aéroport, circulation vers l'intérieur.
J'ai chercher un moyen d'applications de ces plans en graphisme. Je me suis tourné vers un site internet qui fonctionnerait par strates, au niveau 0 il y aurait les idées, le niveau -1 mettrait en évidence les liens entre les différentes idées, et le niveau +1 renverrait vers l’extérieur ( références, sites, textes annexes...)
Ne disposant des moyens techniques suffisant j'ai modélisé cette idée sous forme de maquette 3D, dans l'attente d'acquérir la technique.

Aveugle (inachevé)- Septembre/Octobre 2011- Travail vidéo autour du lieu.

Ce projet a débuté avec un simple sujet vidéo sur les lieux, choisir un lieu, se l'approprier, comment le montrer sous formes de vidéo. J'ai commencé à errer en ville, et par hasard je suis tombée sur un chantier. On démolissait une barre d'immeuble. J'ai été captivé par ces « ruines ». Seule la façade avant avait été enlevée et laissait apparent les intérieurs des appartement. J'ai été ému par les tapisseries restantes, elles formaient un patchwork des vies qui avaient été menées ici. J'ai filmé les ouvriers qui détruisaient fenêtre par fenêtre ces habitations. Au final j'avais ces séquences, mais je les trouvais vides, elles ne retranscrivaient pas du tout ce que j'avais ressenti.

Puis j'ai totalement changé de direction, entre autre parce que quand je suis retourné sur le chantier il n'y avait plus rien. Je me suis intéressée à une question qui me taraudait depuis un bout de temps : comment les aveugles perçoivent ils le monde qui les entoure ? Quelle représentations s'en font ils ? Je suis aller à la rencontre de deux aveugles : Gilberte et Jean Pierre tout deux aveugles de naissance. Je leur ai demandé de me parler de lieu qu'ils appréciait particulièrement et d'autres qu'ils n'aimaient pas, et de m'expliquer pourquoi.
Jean Pierre m'a guidé dans la gare de Nancy comme si c’était moi la malvoyante. Puis je me suis rendue avec Gilberte dans la salle Gabriel Mouilleron, qu'elle avait en horreur. J'ai pris quelque plan de cette salle et j'en ai fait un montage en y superposant son témoignage que j'avais précédemment recueilli.
Encore une fois je n'étais pas du tout satisfaite du résultat, et j'ai abandonné ce projet pour le moment. Mais je pense y revenir un jour ou l'autre sous une autre forme, en utilisant un médium différent de celui de la vidéo.
Mes recherches ont beaucoup évoluées grâce à la lecture de plusieurs ouvrages traitant de ce sujet, notamment Lettre sur le personnes aveugles de Diderot. Mais aussi grâce au travail de Sophie Calle sur les aveugles : la couleurs aveugles et Aveugles.

Aller Simple – Novembre 2011- Travail d'écritures et de photographies.

Ce travail part de plusieurs exercices d'écriture autour de la nouvelle. Chaque semaine nous était donné une nouvelle consigne qui nous permettait d'avancer dans l'élaboration de nos histoires.
La première étant de prendre un livre au hasard et de conserver de la première phrase de ce livre pour première phrase de notre nouvelle.
Le livre pioché fut Ariane de Georges Ribemont-Dessaignes et la phrase était : « On avait dessiné dans la ciel une nouvelle constellation que personne n'avait jamais remarquée, et pourtant aucun astronome ne prétendait avoir découvert d'astres inhabituels. » Au fil des exercices j'ai pu construire mon récit. Celui d'un homme tombé follement amoureux de cette constellation. Qui décide de partir la retrouver à bords d'une montgolfière.
En parallèles nous devions chaque semaine pioché dans notre texte, un mot clefs et faire à partir de ce mot des photos. J'ai crée des mise en scènes à petite échelles avec des figurines en papier. Des jeux de lumières. Des jeux de matières. Puis d'autres mises en scènes avec des personnes en chair et en os.
Il fallait enfin mettre en page le livre en page en associant photos et textes. J'ai choisi dans un premier temps de montrer les photos en couleurs et j'ai opté pour une mise en page basique. Puis me rendant compte que les photos étaient plutôt éclectique je les ai passées en noir et blanc pour uniformisé l'ensemble. J'ai aussi revu la mise en page du texte, en essayant de le faire lui aussi illustrer le texte. Dans les premières pages le protagonistes est encore sur terre, le texte reste donc coller en bas de la page avec un interligne assez faible. Laissant au dessus de lui une grande part au blanc.
Au fil du texte, plus le protagoniste s'élève vers son amour, plus le texte prend de la place dans la page. Plus l'interlignage devient aéré. Les photos étaient insérées aux endroits où elle faisait sens avec le texte.

 

Soûlographie – Mars 2012 – Workshop typographie animé par Félix Demarge.

Le but était de choisir un lieu, de l'observer afin d'en faire ressortir une grille qui permettrait par la suite de créer une typographie devrait ensuite être mise en scène dans ce lieu. Ce travail devait s'effectuer en binôme.
Ayant choisi une cave à vin (Les Caves de Fontenay) nous avons voulu jouer sur l’architecture, la disposition des bouteilles, leur alignement et le rythme qu’elles créent, en opposition avec la fluidité des liquides qu’elles renferment.
Nous avons donc créé une typographie modulaire à partir de la forme d’un verre à vin, divisée en dix morceaux qui nous ont permis de construire des lettres ayant toutes une même identité visuelle. Les formes qui en résultent allient à la fois le côté droit d’une bouteille et des formes plus arrondies issues du ballon du verre.
Nous n’avons pas utilisé de grille pour la construction de nos lettres, en revanche, nous en avons utilisé une pour leur mise en espace, donnant un aspect mouvant et dansant au texte. Pour ce faire nous sommes simplement partie de la construction des étagères de rangement pour les bouteilles, qui forment un quadrillage de lignes horizontales, verticales et en diagonales, formant ainsi des croisillons. Nous avons matérialisé cette grille sous la forme d’un fil rouge, qui relie les lettres entre elles et rappelle le vin.
Pour la mise en espace de notre typographie, nous avons imaginé un dispositif  composé d'une surface transparente type plaque de verre, nous y avons tendu des fil rouge pour matérialisé notre grille, puis nous y avons placé nos lettres en écrivant des noms de vin que l'on pouvait trouver dans la cave. Nous l'avons ensuite suspendu a divers endroit du lieu en jouant avec les transparence, où la grille des casiers venait rencontrer la notre.


Projet de site internet pour la Ligue de l'enseignement. Deuxième semestre 2012

Ce projet est issue d'une commande faite par la ligue de l'enseignement des Vosges, elle était très large et nous permettaient d'explorer les médiums que nous désirions, la seule contrainte étant qu'il y est un lien de fond avec une ou plusieurs facettes de la ligue de l'enseignement.
Avec Marc Antoine, Timothée et Marianne nous nous sommes rassemblé pour cette commande car nous avions des idées similaires sans avoir les mêmes capacités techniques.
L'idée de base était de faire une page interactive en réutilisant la charte graphique de la ligue, à savoir une trame de fond formée de cube. La trame se déplierait au fur et à mesure des clics. Marc Antoine et Timothée avaient fait leurs premier test sur flash. Avec Marianne nous avions développé la même idée sous forme de stop motion. C'est à ce moment la que nous nous sommes associés tout les quatre. Avec Marianne nous nous sommes chargés de la réalisation du stop motion et Timothée et Marc Antoine de toute la partie technique sur ordinateur.
Au final, pour des raisons techniques nous n'avons pas pu faire de cette page une page interactive, nous l'avons donc présenté comme une maquette de livre interactif.
La trame se déplie en différents endroits faisant apparaître différents pôles de la ligue et leurs descriptions.


Le Tuteur – Illustration d'un texte d'Audrey Clauss pour les éditions du Pourquoi pas ?

Suite à la commande la ligue de l'enseignement un groupe à mis en place une maison d'édition qui rassemblerait des textes reprenant les valeurs de la ligue écrit pour les enfants.
La proposition était faite aux autres élèves d'illustrer les textes qui avaient été fait. J'ai choisi Le Tuteur d'Audrey, pour son caractère humoristique sur les différences et l'égalité. Il racontait l'histoire d'un petit garçon qui pour combattre les inégalités créait dans son grenier un monde « parfait » : une plantation de cent haricots blanc traités dans une égalité presque maladive. Mais au bout du compte Marco se rend compte que malgré tout ses efforts les haricots ne pousse pas de la même manière et qu'ils sont tous différents.
Pour illustrer ce texte j'ai choisi la photographie couleur. J'ai mis en scène la plantation de haricot dans mon propre grenier en numérotant chaque graine et en les repartissant dans un quadrillage de cent carreaux de 5x5 cm. Pour ce travail je me suis appuyé sur le travail de Wolfgang Laib que j'avais vu quelque année auparavant au musée d'art contemporain de Grenoble.

 

Sans Faim – Mai/Juin 2012 – Studio Diffusion sur le thème du repas.

Au début on était dix. On devait construire ensemble des courts métrages. Pas de thème imposé, pas vraiment de contraintes non plus. Juste produire ensemble, avec nos regards tous différents qui se rejoignent et s'opposent en même temps.
On est partis sur le thème du repas, parce que c'est un des moments les plus riches de notre société. Riche parce que chaque repas est différent, qu'un repas est rempli de codes et que ces codes diffèrent d'une culture à une autre. Au sein d'un même repas, les avis et ressentis ne sont pas les mêmes.

Nous avons à plusieurs reprises mangés ensemble, afin d'orienter nos envies en fonction des ressentis que nous avions pendant ces repas, ce qu'ils nous inspiraient. Nous avons ensuite crée un repas de toute pièce, des convives qui apparemment ne se connaissent pas et n'ont rien a voir les avec les autres, une table éclectique ou chaque convive devait amené sa chaise, son assiette, ses couverts et son verre. Même les mets présentés n'ont rien d'uniforme, du plat cuisiné au sardines en boîte. De l’appétissant au répugnant. La table est un rappel du fait que notre travail est collectif et qu'il englobe différents points de vue.

Très rapidement j'ai remarqué que des groupes se formaient autour de la table, en fonction de leurs places, mais aussi des conversations qui animait le repas. Mais ce qui m'a intéressé plus particulièrement, ce sont les personnes qui ne se joignent à aucun groupe, et qui se coupent de l'animation de la table et plongent dans leurs pensées. Comme complètement désintéressés de ce qu'il se passe autour d'eux. Ce qui était intéressant c'était que parfois ils revenaient à la réalité, attirés par un mot ou un bruit, mais doucement re-glissait dans l'absence, présents physiquement, mais ailleurs mentalement.
Pour mon film j'ai décidé de créer une sorte de chorégraphie de regards, qui reprendrait chaque instants que j'avais préalablement pris en note : attention, vague, reprise de conscience, glissement d'un regard, fixé sans voir ...
J'ai demandé à une figurante de rejouer tout ces instants lors du repas que nous avions mis en place. Elle s'inspirait des vidéos que j'avais déjà faites et aussi de ses propres expériences. D'abords un plan générale de la table, qui la placerait dans son environnement, puis des gros plans exclusivement de son visage.
Une chorégraphie de regards donc. Le tout sur une bande sonore qui plongerait le spectateur dans la tête du personnage. Des bribes de conversations, un bourdonnement à peine compréhensible, une conversations très lointaines, le tout mêlé aux cliquetis des couverts, la mastication des aliments, le liquide qui coule...  


Carte de vœux « Que reste-t'il a souhaiter dans un monde parfait ? » Décembre 2012

En parallèle avec le sujet « c'est demain », un projet de graphisme nous a été proposé. « Que reste-t'il a souhaité dans un monde parfait ? »
En repartant des pistes que j'étais entrain d'explorer pour demain, je développais mes recherches sur le fait qu'une utopie ne marche pas pour tout le monde la même manière et que chacun a sa manière de voir l'avenir. Je partais donc de mes propres textes ( rêves ou souhait personnels.), que je décomposais ensuite en un tas de lettres que je classais dans l'ordre alphabétique. L'idée étant de proposer ces lettres classés à d'autres pour qu'ils composent à leurs tour leurs souhait ou rêves pour l'année à venir.
Pour que la recomposition soit plus simple pour eux, j'ai utilisé les lettres transfert. Ainsi, il pouvaient aisément voir de combien de lettres ils disposaient encore et composer avec cette contrainte.

J'ai en parallèles développé un autre type de carte de vœux, qui mettaient en scène un alpabet modulaire que j'avais développé.
Cet alphabet modulable fonctionnait sur une grille de deux carrés positionnés l’un au dessus
de l’autre. Associés entre eux les modules créent des lettres et les lettres des mots. En enlevant la partie supérieure ou inférieure d’un mot, on peut en recréer un autre par l’ajout de modules différents. Ainsi le mot RÊVE devient PEUR, et UNIR devient VOIR qui devient DON. Avec ce principe je cherche à rapprocher deux mots qui n’ont rien en commun mais qui imbriqués l’un dans l’autre sont créateur de sens.
Ce que je cherchais à faire ressortir avec ces cartes, c'était que sous les belles promesses que l'on peut nous faire pour Demain se cache d'autre chose d'autre mot qui devienne, plus effrayant.
Le rêve cache le peur, et ÊTRE devient PIRE. Quand PENSER renvoi à une EPONGE.


TRANSMISSIONS EXPERIMENTALES – Novembre / Décembre 2012

Ce livre est issu d'un travail à quatre mains né dans le cadre de l'atelier livre d'artiste. Le but était de mettre en place des moyens de mises en relations des univers de deux personnes. Mon binôme a été Marianne. Nous sommes partis sur le principe des Wall Drawings de Sol Lewitt, que nous avons réadapté pour le sujet. Le principe était simple et fonctionnait un peu comme un jeu : l'une faisait un dessin, en faisait une description qu'elle passait à l'autre afin qu'elle l'executes sans avoir vu le dessin de base.
Les premières description étaient longues et fastidieuses et les dessins se ressemblaient fortement, et nous n'en voyions pas l'intérêt. Nous avons donc fait des descriptions plus simple, et les dessins ont commencés à vraiment être différents. Nous en avons fait une bonne trentaine chacune, et finalement avons fait une sélection de ceux qui nous paraissait les plus significatifs de l’expérience. Nous les avons rassembler dans un petit livre tirés à cent exemplaires.
Pour ce petit livre nous avons opté pour des moyens pauvre, impression noir et blanc sur un papier recyclé. Qui nous permettait de le diffuser largement pour un petit prix.

C'est Demain. - Octobre 2012 > Janvier 2013 – Atelier projet autour du thème c'est demain.

On espère toujours mieux pour demain. On peut appeler ses espèrances utopies. On recheche le bonheur. J'envisage le bonheur comme une notion individuelle, qui ne peut être une action commune car chaque individu en a sa propre conception.En ces conditions une vie en socièté est à exclure dans la recherche d'un bonheur pour demain. Mais on ne trouve pas non plus le bonheur dans la solitude. C'est auprés des autres qu'on le trouve. Alors j'ai pensé à un monde utopique, où les gens se rencontrent. Aux carrefours ils edifient des monuments. C'est un monde utopique parce qu'ils prennent le temps de rencontrer l'autre et de construire avec lui des bouts de vie. Aux carrefours des lieux se construisent. Ils sont le fruit de la rencontre qu'ils abrittent. Ce sont des lieux éphémère qui n'existe que le temps de la rencontre. Ils ne disparaîssent pas totalement une fois la séparation effectuée. Ils existent en toile de fond. Font toujours écho au font des individus.
C'est un monde utopique, donc en théorie impossible, je le présente sous forme de dessin car il permet de rendre les abstractions visibles ainsi que de donner une vie aux choses impossibles. Ce monde que je trace est un espace vide où les individus se déplacent librement, les lieux se construisent sur rien, sans fondation, sans point d'ancrage, ils flottent en quelques sorte. Il me permet de mettre en évidence le temps qui passe, je superpose des feuilles de calques qui expriment les différentes étapes de constructions, pour montrer cette mise en arrière plan de lieux désert mais qui ont néanmoins une histoire.
Je m'inspire majoritairement des formes issus de l'architecture utopiste. Ainsi que des textes de l'architecte Yona Friedman sur les utopies réalisables. Les cités obscures de Schuiten que je lisais plus jeunes ont été aussi une grande source d'inspirations, même si mon dessin reste plus géométrique donc plutôt comme celui de Paul Noble. Ce qui m'a guidé dans mes recherches c'est aussi et surtout la rencontre avec les autres et les discussions que j'ai pu avoir avec eux autour de ce thème.

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